L'espace traversé par l'allée du Coteau, l'allée de la petite faucille et l'allée du petit tonneau (souvent nommé Dalle Robespierre) est riche en belles installations, souvent anciennes, mais presque toujours intactes.
Une œuvre à quatre mains qui montre la complicité entre Alicè et C215 dans les années 2010. Les techniques sont différentes (pochoir pour l'un, tracé au pinceau pour l'autre) mais l'harmonie colorée est la même. Un bel ensemble sur ce bâtiment siège de l'association France- Mali.
C215 a repris ici un pochoir installé à Brooklyn en 2008 et lui-même inspiré d'une photographie de Sebastião Salgado. Elle témoigne de son évolution vers la multiplication des couleurs par la superposition de pochoirs.
La complicité entre c215 et Alicè lorsque cette dernière vivait en France est flagrante dans leurs œuvres respectives de cette époque. Trait épuré et force émotionnelle, on croirait à,un autoportrait d'Alicè et pourtant c'est un pochoir (il fait penser à une photographie d'Alicè par Andrea Veroni).
Ce guerrier bantu de Kouka, fait pendant aux grandes fresques de l'avenue Henri Barbusse.
Ces deux pochoirs sont installés passage Général Leclerc; comme souvent les œuvres de Icy and Sot sont très engagées: le dollar nous aveugle; avec ses portraits au pochoir sur fond d'empreinte digitale, SoWeR cherche à nous interroger sur l'identité.
Et d'autres (Phu Phi reorésentant Gandhi, Mandela, et le Dalaï Lama) continuent le combat avec l'arme de la non-violence.