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Dossiers photographiques

L'art de la danse sacrée (Sattriya) est pratiqué dans de nombreux monastères. Jusque dans les années 1940, le Sattriya était exclusivement interprété par des hommes (moines). Depuis les années 2000 ces danses sont reconnues comme un élément de la danse classique indienne.

Le maquillage 

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Maquillage
© Michel Racine.
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Maquillage;
© Michel Racine
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Maquillage;
© Michel Racine
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Maquillage;
© Michel Racine

A Majuli, tous les personnages, masculins ou féminins sont joués par des hommes ou de jeunes garçons. Le maquillage et la préparation des costumes prennent énormément de temps.
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Maquillage;
© Michel Racine
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Maquillage;
© Michel Racine

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Maquillage
© Michel Racine.
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Maquillage
© Michel Racine.

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Maquillage;
© Michel Racine
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Maquillage;
© Michel Racine

Les danses 

Les noms des différentes performances sont donnés sous toute réserve.
Gayan Bayan (détails)
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Utar Kamalabari satra;
© Michel Racine

Ce prélude musical débute toute représentation. Très codifié il est exécuté par six joueurs de khol (tambour) et quatre de tal (cymbales). Pas complexes et positions des mains sont en harmonie avec le rythme de la musique.
Sattriya Nritta
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Utar Kamalabari satra; le danseur s'identifie à Krishna.
© Michel Racine

Danse abstraite pratiquée en solo.
Phagu Khela ou Sattriya Natya (détails)
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Utar Kamalabari satra;
© Michel Racine

Cette danse théâtrale excutée lors du festival de Ras Leela représente les jeux amoureux de Krishna et des gopis (bergères). Krishna envoûte les gopis à l'aide de sa flûte magique. Les grands textes religieux indiens sont mis en scène particulièrement les scènes relatives à la vie de Krishna comme le Bhagavata Purana