Dossiers photographiques

Considéré comme l'itinéraire balisé le plus difficile d'Europe, le GR 20 est une randonnée mythique. La beauté des paysages et quelques autres petits plaisirs vous récompenseront de vos efforts et d'un certain inconfort.

Mon GR 20 au jour le jour

Les quelques extraits de mon carnet de bord ci-dessous décrivent l'itinéraire du nord au sud; j'ai fait ce parcours fin juin.

De Calenzana à Ortu

Belle étape avec vue sur mer. La forêt présente de beaux restes, malgré les incendies. Premiers contacts avec les rochers dans la seconde moitié. Certains groupent les deux premières étapes, ce n'est défendable que si on parcourt l'itinéraire dans le sens sud-nord.

D'Ortu à Carozzu

Le départ de l'étape se fait dans une forêt de bouleaux et l'arrivée aussi. Entre temps les rochers sont cette fois-ci bien là avec de nombreux passages d'escalade facile où il faut ranger les batons. Descente raide et pénible sur le refuge. Nous l'avons échappé belle car deux groupes d'agences arrivent demain : 42 personnes pour 26 places. Ce refuge est célèbre pour ses couchers de soleil.

De Carozzu à Haut-Asco

L'ascension jusqu'au lac de la Muvrella se fait en grande partie sur des dalles très techniques que l'on passe en adhérence; le parcours est en partie sécurisé par des cables; il est néanmoins très dangereux par temps de pluie. A 100 m du refuge, on traverse la rivière sur une passerelle suspendue; belles vasques propisces à la baignade l'après midi (eau froide quand même). Vous ne découvrirez peut-être le petit lac de la Muvrella qu'une fois arrivé au col qui le surmonte. Une variante du GR passait par le sommet de la Muvrella, mais cet itinéraire est à présent très difficile à trouver en versant nord; il est faisable en AR versant sud (cairns). De la Bocca di Stagnu la descente traverse une magnifique forêt de Pin laricio. Il est possible de court-circuiter Haut-Asco par un itinéraire de crête passant par la Punta Culaghia, mais cela vous prive des possibilités de ravitaillement offertes par le refuge de Haut-Asco. Le soir, vous apprécierez peut-être le repas au restaurant.

De Haut-Asco à Tighiettu

Une étape en trois parties très différentes  : la montée, par un bon sentier (c'est suffisament rare pour le signaler) jusqu'au lac d'Altore; les passages plus techniques dans des dalles au dessus du lac d'Altore et la traversée du cirque de la Solitude; la descente dans des dalles inclinées entre la Bocca minuta et le refuge Tighiettu. Des névés persistent longtemps entre Altore et le col Perdu. Le cirque de la Solitude est la partie réputée la plus délicate du GR; elle ne comporte pas de réélles difficultés (nombreuses chaines), mais il faut prendre garde aux chutes de pierre, surtout en cas d'affluence (en fait ce cirque porte très mal son nom). Cette partie est spectaculaire, mais on s'y sent un peu enfermé.

Une alternative au cirque de la Solitude est la traversée du Monte Cinto, le plus haut sommet de Corse. Si vous tenez aux deux, le Monte Cinto peut s'atteindre en aller et retour depuis Haut-Asco ou depuis Tighiettu.

Suite à un glissement de terrain ayant entrainé la mort de 7 personnes en juin 2015 et plus généralement, à la surfréquentation des lieux, l'itinéraire de l'étape Haut-Asco > Tighiettu passe désormais par la pointe des Eboulis et non plus par le cirque de la Solitude. Un nouveau balisage a été mis en place. Les équipements (chaines, échelons, etc.) ayant été retirés du cirque de la Solitude, sangle et corde d'assurrage sont nécessaires pour continuer d'emprunter l'itinéraire originel. Le Monte Cinto, très proche de la pointe des Eboulis, constitue une variante encore plus attirante que par le passé, mais l'itinéraire est un peu chaotique et difficile à suivre..

Charlie, le théâtral gardien de Tighiettu est célèbre sur tout le GR, et ses pâtes sont réputées; cependant, je conseille de descendre jusqu'aux bergeries de Ballone (hébergement sous tente mais plus confortable qu'au refuge, repas, vente de fromage -un peu trop salé cependant-).

De Tighiettu à Castel di Verghio

L'ascension de la Bocca di Fogiale, à travers de gros blocs de rochers est particulièrement pénible. Par contre, la descente est facile et agréable; peu avant les bergeries de Radule, des vasques dans le cours du Golo invitent à la baignade (mais l'eau est encore froide). Certains s'arrêtent en cours de route au refuge di i Mori mais ce n'est justifié que pour faire l'ascension de Paglia Orba. Si vous ne restez pas à ce refuge, prenez le raccourci sous Bocca di Fogiale. Castel di Verghio n'offre pas l'ambiance des sommets (en hiver, c'est une mini station de ski), mais constitue une étape confortable avec son hôtel-restaurant et ses vastes espaces pour le camping.

De Castel di Verghio à Manganu

Une belle étape, variée, facile, sur un vrai sentier, de quoi vous remettre de celles qui précèdent. Nous nous sommes arrêtés à tord au refuge du parc (Manganu), mais je conseille très fortement d'utiliser les bergeries de Vaccaghia, vous ne le regretterez pas.

Le début de l'étape se fait dans la hêtraie; les arbres sont magnifiques. Au dessus du col Saint Pierre et de son petit oratoire il en subsiste quelques uns, mais totalement déformés par le vent; et si le vent ne souffle pas le jour où vous passez, cela vous donnera une idée de sa violence et de sa fréquence le reste du temps. Après avoir passé les pentes douces de la Bocca â Reta, on aperçoit le lac de Ninu et ses pozzines où paissent librement de nombreux chevaux.

Arrêtez vous à Vaccaghia, je ne le répéterai plus. Le refuge de Manganu était bondé; le gardien se terrait dans son office.

De Manganu à Petra Piana

Et voilà sans conteste la plus belle étape du GR 20. Partis dans l'inconfort du refuge (il a fallu prendre le petit déjeuner dans la nuit du petit matin faute de place dans la salle à manger), nous traversons quelques pozzines, puis nous atteignons la brêche de Capitello après une ascension dans un pierrier en partie couvert par un névé facile. Là, dans un décor d'aiguilles de granite, apparaissent les lacs de Capitello et de Melo. Nous retrouvons un autre névé côté est. Son franchissement encore exposé est facilité par une corde posée là par une agence. Le sentier progresse le long de la ligne de crête, ou parfois un peu en dessous, mais reste très physique (gros blocs de rochers).

Descente raide sur Petra Piana, son petit refuge et son gardien bavard. Encore une personalité, mais il nous anonce qu'il prend sa retraite à la fin de la saison. Il racconte beaucoup d'histoires (vraies ou fausses ?). A cause du manque de place dans les refuges et malgré nos réservations, nous ne voulons pas arriver trop tard au refuge suivant (l'Onda), nous décidons donc d'attaquer de suite l'ascension du Monte Rotondo plutôt que d'attendre le lendemain matin. Nous grimpons sur un vague chemin balisé par des cairns jusqu'à une brèche en V très caractéristique dans la crête. Le ciel devient noir; de l'autre côté, après quelques dizaines de mètres de descente vers le fond du vallon, nous remontons un névé plein nord, jusqu'au lac de Bellebone. Décor "haute-montagne". Un orage éclate et nous trouvons un providentiel abri sous-roche entre le lac et une seconde crête dont le franchissement donnerait accès au sommet. Il faut renoncer et revenir de suite à Petra Piana.

De Petra Piana à l'Onda

Une étape courte que certains jumellent avec la suivante, ce qui se défend si vous évitez le Monte d'Oro, sinon ça devient vraiment très long. Deux itinéraires sont possibles, l'un par les crêtes, l'autre par la vallée. Nous avons choisi les crêtes, c'est un sentier tantôt facile, tantôt escalade de blocs. Le petit refuge de l'Onda est à 50 m au dessus de la bergerie du même nom. Le gardien vit à la bergerie et ne monte pas souvent. Mis à part que la douche est chaude si le soleil est de la partie, ce refuge n'a rien de mémorable, consolez vous en prenant le (bon) repas du soir à la bergerie.

De l'Onda à Vizzavona

La montée vers la pointe Muratello parait longue, pourtant, elle n'est guère difficile; nous bifurquons vers le Monte d'Oro. Bon sentier, bien balisé et bien tracé (ce qui est rare en Corse). Cette variante est sans aucune difficulté, quelques escalades faciles dans du granite avant de rejoidre la "voie normale", plus pierreuse. Paradoxalement, l'itinéraire devient moins évident et nous cherchons les cairns. Une courte cheminée donne accès au sommet où des drapeaux tibétains se mèlent à une vieille croix. Nous devons à nouveau chercher l'itinéraire pour la descente, puis nous bifurquons vers le nord sur la voie "normale". Avant d'atteindre le lieu dit La cafetière, l'itinéraire emprunte un couloir raide : attention au chutes de pierres; de plus, en début de saison, méfiez vous des névés. La descente vers Vizzavona est longue; le ciel gronde et nous atterrissons par erreur à la gare alors que nous sommes hébergés au col; il faut remonter sous l'orage.

De Vizzavona à Campanelle

A Campanelle existe un gite privé, très fréquenté par les agences et un refuge du parc non gardé au confort plus que sommaire. Beaucoup évitent cette étape en allant directement de Vizzavona au col de Verde. C'est alors une très longue journée. Si vous voulez traverser le Monte Renoso, intéressez vous aux itinéraires possibles sur son versant ouest.

De Campanelle à Prati

Une étape sur de bons sentiers, mais assez longue car nous voulions dépasser le col de Verde. Forêt.

De Prati à Usciolu

Longue traversée de crêtes qui oscille d'un versant à l'autre et attaque dans des blocs dès le départ. Un peu monotone quand même. A Usciolu, le jeune gardien manque encore un peu d'expérience; Son occupation principale est... de jouer aux boules avec l'ancien gardien, Francis Pantalacci, qui continue à gérer son épicerie et à servir un plat du jour à 9€ (il faut croire que c'est rentable pour lui et pour nous c'est le meilleur prix de tout le GR 20 : rien n'est donné en Corse). La consultation du site usciolu.over-blog.com ne vous en apprendra pas beaucoup plus sur le conflit qui oppose les gardiens les plus anciens au parc régional, mais vous pourrez prendre parti. Quelqu'un de plus avec un long passé de gardiennage et qui a beaucoup à raconter. En tous cas, ici les douches sont chaudes (un chauffage solaire fait maison, mais qui fonctionne) et l'ambiance est au farniente (le terrain de boules dans les rochers, les parasols, la bière corse). Bon, demain, il faudra repartir de bonne heure...

D'Usciolu à Asinau

Encore une longue étape, mais plus variée que la précédente; escalade de blocs, hêtraie, vaste prairie avec pozzines, un pont suspendu qui semble démesuré pour franchir le maigre ruisseau de Forcinchesi (maigre, sauf pendant les crues), longue montée vers le Monte Alcudina, et surtout une descente courte mais terrible sur le refuge d'Asinau. La descente dans des dalles fort pentues nous achève. Asinau est le seul refuge où nous devons coucher dans la salle à manger : nous y croisons un groupe d'agence qui occupe la moitié des places disponibles. A part ce problème, ce refuge n'est pas spécialement accueillant; d'un autre côté, si vous campez, méfiez vous des cochons sauvages et n'hésitez à laisser votre nourriture à l'intérieur du refuge. En conclusion, si vous pouvez éviter cette étape, faite-le. Un bivouac non surveillé mais autorisé est possible à l'emplacement de l'ancien refuge Pédinielli, peu après la passerelle suspendue. Mise à jour: le refuge d'Asinau a été incendié en mars 2016; au voisinage, existent une bergerie (refuge privé) à 15min sous le refuge incendié ainsi que le nouveau refuge de Matalza.

D'Asinau à Paliri 

Certains commencent ou arrètent leur traversée de la Corse au col de Bavella; c'est sans doute se priver du plus beau bivouac du parcours. Nous avons décidé prendre prendre la "variante alpine", que je ne peux que conseiller : paysages parmi les plus spectaculaires du GR 20. Nous y croisons beaucoup de monde, certains randonneurs ne font que cette seule étape... Un passage un peu difficile à la montée est équipé d'une chaine; je me hisse à la force des bras; la descente vers le col de Bavella emprunte un couloir raide, ici encore, attention aux chutes de pierres. Quand on arrive des crêtes sauvages du GR 20, le hameau de Bavella n'est pas spécialement attirant; après un court repas nous repartons vite vers Foce Finosa. La chaleur se fait sentir dans la montée, mais peu après le col, on atteint le refuge dissimulé dans une pinède de Pin matitime. Paliri est un petit refuge traditionnel qui n'a pas du beaucoup changer depuis l'ouverture du GR 20 (dans les années 70). Vastes emplacements pour le bivouac. Le cadre formé par les aiguilles rocheuses alentour est exceptionnel. Pour les amateurs, un sentier monte vers la Punta Tafunata di i Paliri; seuls les derniers mètres demandent un équipement type via ferrate.

20090707_c10_pano
Punta Tafunata de i Paliri
© Michel Racine

De Paliri  à Conca

Par hasard, j'ouvre un oeil vers 5 h : bingo, c'est le lever de soleil le plus fantastique de tout le parcours. S'il fait beau (mais pourquoi ne ferait-il pas beau ?), ne manquez ce lever de soleil sous aucun prétexte; un spectacle d'une heure pendant lequel le ciel prend toutes les tonalités du rouge au bleu avec en ombres chinoises les aiguilles du Monte Bracciutu. La descente sur Conca est variée, mais très chaude sur la fin; vous apprécierez peut-être les vasques que forme le ruisseau de Punta Pintuza à son croisement avec le GR.

Le GR 20 en pratique

Hébergement et nourriture

Disons tout de suite que l'hébergement n'est pas le point fort de ce GR. Le bivouac est interdit hors des zones aménagées autour des refuges (une exception à l'emplacement de l'ancien refuge Pédinielli). En cas de bivouac, vous devez utiliser les réchauds prévus par le parc à cet effet à l'extérieur des refuges.

Pour utiliser les dortoirs des refuges, un système de réservation obligatoire a été instauré en 2009, plus semble-t-il pour surveiller les gardiens que pour améliorer l'hébergement. Vous devez vous inscrire et payer sur le site : www.parc-corse.org/vad/. Pour sa première année, ce système fonctionnait mal, ou ne fonctionnait pas. Les refuges sont sales et bondés du 15 juillet à la fin août (en fait la "haute-saison" va de juin à septembre et certains prétendent qu'il y a moins de monde en juillet-août). Il n'y a pas de couvertures, (ce qui est plutôt mieux pour l'hygiène); emportez en plus du sac de couchage une "couverture de survie épaisse" pour vous isoler des matelas et des petites bêtes qui y trainent. Lorsque l'alternative est possible, je conseille d'utiliser les hébergements en bergerie ou en refuge privé plutôt que les refuges du parc.

Bivouac or not bivouac ? Si le poids du sac ne vous fait pas trop peur, emportez une tente ou au minimum un double toit ceci vous assurera un meilleur confort et la possibilité de modifier votre planning en fonction de votre forme, de la météo ou d'autres aléas, mais vous n'échapperez pas à la contrainte de passer la nuit au voisinage immédiat du refuge. Compte tenu de la sécheresse de l'air (sauf les jours de pluie), le bivouac sans double toit est possible.

En 2009 le coût de la nuitée est de 10 € par personne en refuge du parc et de 5 € par tente pour le bivouac. A l'extémité nord, le gite de Calenza est confortable; pour 14 € la nuit vous aurez droit à un hébergement en chambre de 4 personnes et à une douche chaude privée.

La nourriture est hors de prix sur tout le GR; il y a peu de choix, excepté l'épicerie du refuge d'Asco, celle de l'hotel Castel di Verghio, celle proche de la gare de Vizzavona, celle de Francis Pantalacci à Usciolu (où l'on trouve même des chaussures de marche !). Vous trouverez presque partout du fromage de brebis produit avec du lait (le plus souvent) corse et du saucisson (parfois) corse; les autres saucissons peuvent venir de Bretagne. Le pain est rare et rarement bon (excepté à Castel di Verghio qui fabrique un excellent pain maison). Emportez du continent ou de la ville l'essentiel de vos petits déjeuners. L'ancienne station de ski de Haut-Asco possède un bon hôtel-restaurant (Le Chalet) et quelques autres possibilités de restauration. La demi-pension à Castel di Verghio peut-paraitre chère (40 € en 2009), mais est d'un bon rapport qualité prix. Il est possible de prendre le plat du soir ou un repas complet dans tous les refuges (de 9 à 21€ en 2009), ce qui allège considérablement le poids du sac.

Equipement, santé et itinéraire

Ce GR n'est pas aussi difficile qu'on le prétend; bien sûr, il vaut mieux avoir l'expérience de la marche; il faut surtout bien adapter la longueur des étapes à ses possibilités. Le topo guide officiel comporte de bonnes reproductions des cartes IGN au 1/25 000e; si vous souhaitez faire des variantes ou avoir une vue plus étendue des environs, la quasi totalité de l'itinéraire est couverte en quatre cartes, sauf une portion de la première étape, tout au nord (liste en bas de page). Le GR est généralement décrit du nord vers le sud, mais sa réalisation du sud vers le nord à l'avantage de repousser les étapes difficiles sur la fin, quand on est mieux entrainé (du moins, si on n'a pas présumé de ses capacités les premiers jours). En début de saison, cela laisse aussi plus de jours aux névés pour fondre.

La règle habituelle : voyager léger s'applique ici encore plus qu'ailleurs (hors nourriture, mon sac pesait moins de 12 kg), mais le GR 20 est plus un itinéraire balisé sur rochers qu'un sentier.
De bonnes chaussures de marche sont indispensables; cependant, j'ai personnellement fait trois étapes en sandales. Des bâtons télescopiques (qu'il faudra parfois ranger dans le sac pour certains passages rocheux) ménageront vos genoux à la descente et donnent un meilleur équilibre dans ces terrains difficiles.

Si vous faites le parcours en mai, prévoyez un équipement alpin : crampons individuels, une corde et un ou deux piolets pour un groupe. Même l'été il peut faire très froid; les vents violents sont fréquents. Suite à un glissement de terrain ayant entrainé la mort de 7 personnes en juin 2015 et plus généralement, à la surfréquentation des lieux, l'itinéraire de l'étape Haut-Asco > Tighiettu passe désormais par la pointe des Eboulis et non plus par le cirque de la Solitude. Les équipements (chaines, échelons, etc.) ayant été retirés du cirque de la Solitude, sangle et corde d'assurrage sont nécessaires pour continuer d'emprunter l'itinéraire originel.

Cette randonnée a été réalisée grace à la section de Meythet du CAF (www.cafmeythet.org). Une grand merci à tous ses bénévoles.

Cartes IGN top 25 :
4250 OT Corte Monte Cinto,
4251 OT Monte d'Oro Monte Renoso,
4252 OT Monte Renoso Bastellica,
4253 ET Bavella Solenzara.

A travers la montagne corse. Topo guide officiel de la FFRP.
L'itinéraire (sur le site officiel de la FFRP).